Une économie sociale de marché

Nous souhaitons une économie qui profite à l'homme et qui n'exploite pas l'homme. Parallèlement, une économie forte constitue la base des emplois et de la prospérité de la Suisse. Pour cela, il est nécessaire de disposer d'un bon cadre et de conditions de marché avantageuses au niveau international.
Pour nous, cela signifie que nous défendons l'économie sociale de marché. Nous souhaitons que l'entrepreneuriat soit éthique et responsable par rapport à la société. Les travailleurs, en Suisse comme à l'étranger, doivent être rémunérés de manière équitable et protégés contre l'exploitation. Le marché et la concurrence sont des moteurs importants et précieux de l'innovation et de la productivité, dans le cadre légal.

  • Nous nous engageons en faveur d'une économie sociale de marché et d'un entrepreneuriat social qui place le bien-être des personnes avant la maximisation des profits, pas seulement pour des raisons de relations publiques.
  • L'emploi de personnes issues de l'aide sociale et de l'AI doit être encouragé en supprimant les obstacles et en permettant des solutions flexibles. La collaboration entre les entreprises et les autorités doit être intensifiée.
  • Nous demandons des conditions équitables pour tous les travailleurs et travailleuses : des salaires indépendants du genre qui permettent un libre épanouissement et une participation sociale pour tous, le travail dominical uniquement lorsque cela est nécessaire et un respect général des horaires de travail.
  • La suppression des droits de douane pour les produits importés des pays en développement doit soutenir la croissance économique dans les pays concernés.
  • Nous nous engageons pour une protection à large échelle contre la traite des êtres humains ainsi que contre toute forme d'exploitation, que ce soit par le travail forcé, le dumping salarial ou la rémunération inéquitable des stages.
  • La bureaucratie pour les entreprises doit être minimisée et les PME entravées le moins possible par des prescriptions légales.
  • La concurrence fiscale doit être réduite entre les cantons et au niveau international.